Introduction

Dans le cadre du cours d’activités d’insertion professionelle, j’ai interviewé Michel Silver qui travaille au service de la police de l’environnement.

Quelles études avez-vous faites et en combien d’années ?

Je n’ai pas fait d’études en environnement, j’ai fait des études pour être dans la police locale.

Depuis combien d’années exercez-vous votre métier ?

Depuis 3 ans.

Quelle a été votre motivation pour exercer ce métier ?

Le bien-être de l’homme, de l’animal et de l’environnement.

Y a-t-il des difficultés rencontrées dans votre métier ?

Oui, car on se base sur des lois que l’on doit respecter. Le plus compliqué est de jongler avec toutes ces lois. Exemple, le CWATUPe (Code Wallon de l’aménagement du Territoire, de l’Urbanisme et de l’Energie) est le règlement pour l’urbanisme. Il y a un code pour l’environnement qui lui s’occupe du sol, de l’eau, de l’air, etc.

Quel est l’impact de votre métier sur l’environnement ?

L’amélioration. Pour le bien-être de l’homme, de la nature, pour que tout le monde soit bien.

Quelle est l’infraction la plus fréquente et quelle est la sanction ?

Les dépôts sauvages, l’insalubrité. L’URGP gère toutes les incivilités et sanctionne. Le SAC est la sanction administrative communal. Infraction > constatation > envoie de la lettre aux supérieurs. L’amende peut aller jusque 200 euros.

Que pensez-vous d’une option en environnement ?

Je trouve que c’est une nouveauté et pour moi c’est l’épanouissement d’un policier.

Quels sont vos horaires de travail ?

Toute la semaine de 8h à 17h et, le week-end, je travaille la nuit pour les contrôles de commerce de nuit et tout ce qui est dans l’HORECA.

Gagnez-vous bien votre vie ?

On ne gagne jamais assez bien sa vie mais j’ai un salaire raisonnable.

Conclusion

J’ai appris que les policiers en environnement ne faisaient pas que de s’occuper de la nature, ils sont aussi des policiers comme les autres qui s’occupent des contrôles routiers.