Les lichens et la qualité de l'air

Aujourd’hui, je vais vous parler des lichens que nous avons pu observer lors de notre sortie au château de la Roseraie à Péruwelz.

Déroulement de notre journée

La journée a été divisée en deux parties. La première s’est déroulée dans l’enceinte du château et l’autre en ville.

Nous avons commencé par une séance d’information sur les lichens. Nous avons d’abord appris de manière théorique à les identifier. Ensuite, grâce à un atelier pratique , nous avons cherché à identifier plusieurs lichens proposés.

Pendant la présentation nous avons aussi appris que les lichens étaient des bioindicateurs de la qualité de L’air. En effet, certains sont plus sensibles que d’autres à la pollution.

Une fois les lichens identifiés, nous allons les utiliser pour déterminer la qualité de l’air. Leur identification et leur nombre sont reportées dans un tableau grâce auquel nous pouvons déterminer la qualité de l’air.

En effet, les lichens ont une sensibilité à la pollution différente. Par exemple, les lichens du type “en croute” sont plus résistants à la pollution que ceux en feuilles. Les lichens polluo-sensibles sont les lichens du type fruticuleux.

En sachant cela, dans la deuxième partie de la journée nous sommes partis sur le terrain pour observer les lichens dans la ville de Peruweltz.

Nous nous sommes divisés en deux équipes afin de couvrir plus de terrain et de récolter plus d’informations.

Le travail consistait à la recherche d’arbres porteurs de lichens. On les appelle nos stations. Ceux-ci doivent répondre à plusieurs critères (taille, essence, circonférence, localisation, ..)

Une fois l’arbre trouvé, il fallait ensuite identifier et compter les lichens, retranscrire les informations et ainsi déterminer la qualité de l’air sur cette zone.

Nous avons fait 4 stations différentes sur un kilomètre carré.

Une fois notre opération accomplie, nous sommes revenus au château pour comparer nos résultats avec ceux de l’autre groupe qui était sur une autre maille de la ville.